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L’option facultative au bac : à quoi ça sert ?
L’option facultative permet avant tout de gagner des points. En effet, elle doit être le fruit d’un choix judicieux afin de rapporter un maximum de points.
Egalement idéale pour découvrir de nouvelles matières, il est possible de choisir jusqu'à deux options. En général, une option représente 3 heures de cours par semaine.
Au bac seul les points au-dessus de la moyenne sont comptabilisés et une note en dessous de la moyenne ne sera pas prise en compte. Pour la première option les points obtenus au-dessus de la moyenne sont multipliés par 2. La seconde option facultative elle a un coefficient de 1.
Attention, les options facultatives présentées ci-dessous ne sont pas proposées dans toutes les académies ni dans toutes les filières.
Les options « normalisées »
Langue des signes. Pour la session 2013, ils sont 1024 candidats à passer cette épreuve. Vélo Tout Terrain ou VTT ; Equitation et hippologie ;
Les options artistiques
Cinéma audiovisuel Musique Arts plastiques Théâtre Danse Histoire des arts Arts du cirque : avec au choix acrobatie, jonglage, trapèze, équilibre, clown ou magicien.
Les options qui dépendent de la météo
Surf : Pratique du surf ou bodysurf, suivi d’un entretien portant sur le milieu marin. Voile et planche à voile : l’épreuve pratique de voile ou planche à voile est couplée avec une activité de musculation ; Ski de fond, le ski alpin ou le snowboard ; Pêche à la ligne.
Les options « sports régionaux »
Lutte bretonne ; Boule lyonnaise ; Pelote basque.
L’option « élitiste » par excellence
Golf
Les langues ne sont pas pour autant abandonnées et les choix se multiplient
On retrouve une multitude de langues étrangères, régionales ou ultra locales : swahili, amharique, bambara, berbère, niçoise, laotienne, malgache, macédonienne, tamoul, peul, estonienne ou encore haoussa.
Les options en attentes, pour longtemps ou pas…
« Poids d’équilibre » pour « éduquer les jeunes à la nutrition » une option voulue par le nutritionniste Pierre Dukan. Option « numérique » désirée par François Hollande, dans le cadre de la politique pour « l’e-éducation ».
